Comment choisir LA cuisine qui vous convient, en phase avec vos besoins bien à vous? L’agencement, le plan de travail et l’évier méritent un casting particulier car ce sont des éléments clés. Les critères de sélections qui comptent? L’esthétique bien sûr, mais aussi l’ergonomie, la fonctionnalité et les questions d’entretien et de résistance. Car la plus belle cuisine du monde, c’est aussi et surtout celle où l’on se sent durablement bien.
Hier encore, la table des repas et le bloc de cuisine ne se mélangeaient pas, quand ils ne faisaient pas carrément pièce à part. Le salon, la salle ou le coin à manger et le bloc de cuisine étaient autant de mondes différents, avec leur ambiance et leurs fonctions spécifiques. Aujourd’hui, la pièce à vivre qui les réunit tous s’impose comme un modèle. Dans cet espace unique où les transitions sont de plus en plus fluides, l’agencement de cuisine tend toujours plus à devenir une plateforme commune mixant toutes sortes de rôles, d’éléments et de prolongements possibles (îlots, plans de travail, bar, tables, rangements, etc.). Une plateforme servant à concocter des petits plats, à prendre l’apéritif et ses repas, à se détendre ou encore passer du temps devant l’ordinateur.
Article completLes professionnels et les observateurs du marché immobilier sont unanimes : toutes les conditions sont réunies pour acquérir un logement. Encore faut-il bien réfléchir avant de se décider et parfois revoir ses projets.
Les milieux professionnels de l’immobilier sont unanimes. Qu’ils soient courtiers immobiliers ou en crédits hypothécaires, banquiers ou conseillers en placements de patrimoine, tous s’accordent à dire que les temps sont propices pour acquérir son logement. Le vent de folie qui soufflait voilà trois ans encore sur le marché est tombé. Spécialiste du conseil en financement immobilier et très actif dans le courtage hypothécaire, Stéphane Defferrard, administrateur de DL|Conseils en financement immobilier à Lausanne, résume schématiquement : les prix des objets de moins de un million de francs ont baissé de 5%, ceux compris entre un et deux millions de 10% à 20%, et ceux de plus de 2 millions jusqu’à 30%. Et de constater que l’écart entre le prix de vente et l’estimation de l’objet faite par la banque est beaucoup plus faible qu’il y a encore deux-trois ans.
Article completLe vieillissement de la population, l’allongement de l’espérance de vie et la fragilisation de la grande vieillesse sont des éléments communs à tous les cantons suisses. Toutes ces personnes ne pourront pas trouver une place dans un EMS. Il faut donc privilégier autant que possible le maintien à domicile. Mais pour que cela se passe sans encombre, il est primordial d’adapter l’environnement. Petit tour d’horizon.
Selon le scénario du SCRIS (Service cantonal de recherche et d’information statistiques), la population vaudoise passera de 708’189 habitants en 2010, à 874’398 habitants en 2030, soit une augmentation de 23%. En 2010, les personnes âgées de 65 ans et plus représentaient 15% de la population. En 2030, cette proportion représentera plus de 20% de la population, soit un Vaudois sur 5. Et l’effectif des plus de 80 ans augmentera de 120% d’ici à 2040. Pour faire face à ce vieillissement de la population, la politique de santé du canton de Vaud est de promouvoir le maintien à domicile. La cheffe du Département de la Santé et de l’action sociale, Stéfanie Monod, concède que le vieillissement de la population aura un impact sur la société ces trente prochaines années. « Aujourd’hui, les personnes souhaitent vivre à domicile le plus longtemps possible. La politique du maintien à domicile n’est donc pas seulement basée sur des avantages économiques, c’est un véritable choix de société ». Adapter les intérieurs devient primordial. Pour l’architecte et ergothérapeute, Félix Bohn, « En construisant des logements à caractère gérontologique avec un espace public adapté à la population âgée, les personnes peuvent mener plus longtemps une vie autonome et éviter des accidents. Outre un gain individuel de qualité de vie pour les personnes âgées, ces mesures peuvent conduire à des économies potentiellement substantielles des coûts de la santé », expliquait-il dans une interview accordée à Tactuel, revue spécialisée du handicap de la vue et de la surdicécité.
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