Le bruit des chantiers de construction résonne nettement moins souvent dans les villages alpins depuis le 1er janvier 2016, date de l’entrée en vigueur de la fameuse Lex Weber – qui, rappelons-le, limite à 20% du parc des logements et de la surface brute au sol
habitable le nombre accepté de résidences secondaires pour chaque commune.
En revanche, les discussions autour de cette loi continuent à faire grand bruit en Valais, le canton romand le plus concerné (lire encadré). C’est ainsi que le Groupement suisse pour les régions de montagnes (SAB), la Fédération suisse de tourisme (FST) et la Fédération suisse des propriétaires immobiliers ont aujourd’hui décidé de s’exprimer d’une seule et même voix pour réclamer une correction des défauts de l’initiative de l’association Helvetia Nostra. «Certaines entreprises de construction ont complètement cessé leurs activités, alors que d’autres ont dû réduire le nombre de leurs employés, déplore Thomas Egger, directeur du SAB. La concurrence s’est accrue et les entreprises sises en montagne ont dû chercher des mandats dans d’autres régions. Heureusement, dans des cantons comme les Grisons et le Valais, des constructions dans des domaines différents (chemins de fer, correction du Rhône, etc.) ont permis de combler les pertes enregistrés dans un secteur qui a quand même diminué de moitié dans les communes touristiques depuis l’adoption de l’initiative.»

Le Tribunal fédéral1 s’est penché récemment sur un tel cas.
EN FAIT
Suite à une résiliation du contrat de bail notifiée par le bailleur au motif d’un besoin propre, le locataire a ouvert une procédure de contestation du congé, en remettant en question la véracité du motif invoqué. Le Tribunal des baux a validé le congé et octroyé une prolongation au locataire.
Or, après avoir déménagé, ce dernier s’est rendu compte que le logement n’était pas occupé par la famille du bailleur mais qu’il avait été remis en location à un loyer bien plus élevé. Fort de cette découverte, il a donc ouvert une nouvelle procédure pour obtenir du bailleur le paiement de dommages-intérêts, soit le remboursement de ses frais de déménagement ainsi que le paiement de la différence entre son dernier loyer et le nouveau loyer payé.

Autrefois reléguée au bout du couloir ou loin du regard des invités, la salle de bains trouve aujourd’hui une place de
choix dans la maison. Encore davantage durant cette période particulière, on veut pouvoir profiter pleinement de ce havre de paix pour prendre du temps pour soi et s’y ressourcer en toute quiétude. A l’instar de la cuisine qui est
devenue depuis plusieurs années une pièce à vivre à part entière, la salle de bains emboîte la tendance, en y ajoutant la touche de confort et d’esthétisme nécessaires afin d’y évoluer en toute sérénité.
Sobre et intemporelle ou moderne et design, cet espace privilégié doit aussi être pratique et fonctionnel en offrant toute la sécurité nécessaire à ses utilisateurs.
La salle de bains s’adapte aujourd’hui à tous les goûts et à toutes les exigences, quel que soit le volume à disposition pour sa réalisation. Au niveau des décors, du mobilier et des divers éléments sanitaires, les designers rivalisent d’inspirations pour faire de ce lieu rimant avec intimité une véritable oasis de bien-être personnalisée dont veut aussi profiter toute la famille.