Les statistiques sont limpides : le parc immobilier est responsable de 40 % environ de la consommation d’énergie finale en Suisse et génère presque un tiers des émissions de CO2. Pour tendre vers un parc plus durable, les actions se multiplient. Cantons et Confédération ont par exemple lancé en 2010 le Programme Bâtiments, qui octroie depuis des subventions pour un logement plus efficace d’un point de vue énergétique.
Un accent particulier est mis sur le chauffage, qui représente environ 70 % de la consommation énergétique des bâtiments. Les propriétaires immobiliers sont encouragés – voire contraints selon
les cantons – à passer aux énergies renouvelables (comme le solaire, la pompe à chaleur et le bois) et incités à isoler façades, toits et fenêtres. La part des pompes à chaleur a ainsi été multipliée par cinq entre 2000 et 2023, selon l’Office fédéral de la statistique (OFS). Mais pas encore de quoi détrôner le mazout, qui reste la principale source d’énergie.

Aujourd’hui, les fabricants rivalisent d’ingéniosité pour proposer des solutions adaptées à toutes les configurations, sans compromis sur le design. Entre modularité, gain de place et choix de matériaux durables, chaque salle de bains peut se transformer en une véritable bulle de bien-être.
En feuilletant un magazine, on se surprend à rêver face à des photos de salles de bains somptueuses. Mais dans la réalité, elles ne s’adaptent pas toujours à notre intérieur, faute de place ou de flexibilité. « Nous avons une solution à ce défi pour que cela ne reste pas un rêve », se réjouit Maurizio Venturini, Head Product Management Bath chez Sanitas Troesch. « Une ligne spécialement conçue pour s’intégrer aux différents volumes des pièces, y compris les petites salles de bains. » En effet, la gamme Alterna yuwia exploite l’espace disponible de manière optimale sans renoncer à l’élégance grâce à un atout : des solutions d’angle arrondies et compactes, et des designs modulaires. Les pièces phares de cette ligne sont les lavabos arrondis de plusieurs tailles, qui s’adaptent même aux wc visiteurs.

L’affaire concernait la vente d’un appartement en PPE confiée à un courtier avec un mandat exclusif. Le contrat a ensuite été modifié et la clause d’exclusivité supprimée. Plusieurs courtiers ont ainsi été mandatés et l’appartement a été vendu par l’un d’entre eux à un couple connu du premier courtier. Sur cette base, le premier courtier mandaté a également demandé le paiement de son salaire à la vendeuse. Le Tribunal fédéral lui a donné tort.

En droit
Il est utile de rappeler que le courtage de vente est un contrat par lequel le courtier est chargé, moyennant un salaire, soit d’indiquer à l’autre partie l’occasion de conclure la vente, soit de servir d’intermédiaire pour la négociation d’un contrat. Dans le premier cas, on parle d’un contrat d’indication et dans le second d’un contrat de négociation.