L’accession à la propriété continue de faire rêver les Helvètes, qui sont chaque année des milliers à entrer de plain-pied dans cette nouvelle réalité. Mais tous n’ont pas les mêmes capacités financières, les mêmes besoins et les mêmes motivations. D’où l’intérêt de distinguer le bien individuel de la propriété par étages et de l’immeuble de rendement.
Propriétaire. Ce titre fait rêver de nombreux Suisses, qui sont chaque année des milliers à l’endosser. Si les spécialistes s’accordent à dire qu’une telle démarche doit correspondre à un besoin, refléter un projet de vie dans le cas d’un bien destiné à son propre usage, l’opportunisme est de mise quand il s’agit de l’acquisition d’un immeuble de rendement. Tous les acheteurs n’ont en effet pas les mêmes capacités financières, les mêmes besoins et les mêmes motivations. En revanche, tous se posent la même question: est-ce le bon moment de passer à l’action? «Les prix sur le marché immobilier romand, mais de manière plus générale en Suisse, sont à des niveaux très élevés, ceci tant pour la propriété à but d’usage que pour celle destinée au rendement, répond David Michaud, économiste immobilier à la Banque Cantonale Vaudoise (BCV). Les facteurs qui l’expliquent sont la faiblesse des taux hypothécaires, qui ont poursuivi leur baisse, et l’introduction de taux négatifs en Suisse entre décembre 2014 et janvier 2015, qui affectent notamment les performances du marché obligataire.
En ce qui concerne les fondamentaux de ce marché, ce fort attrait pour l’immobilier s’est matérialisé par des investissements conséquents ces dernières années. On construit actuellement de nombreux logements, principalement à destination du marché locatif. Notons que cette forte production s’inscrit dans un contexte d’affaiblissement du solde démographique, ce qui entraîne tendanciellement une détente du marché au niveau des agglomérations, notamment sur la région de l’Arc lémanique, voire des surcapacités dans des régions plus périphériques.»
La cuisine est devenue la pièce à vivre préférée de la maison. Ouverte et spacieuse, elle est un espace de vie à part entière où l’on veut partager des moments conviviaux autour d’un bon repas. Pour en profiter au maximum, l’aménagement et le choix de l’électroménager doivent être soigneusement étudiés, aussi parce que la réalité, même virtuelle, ne permet pas toujours de réaliser la cuisine de rêve proposée dans les catalogues.
La tendance de ces dernières années ne se dément pas, la cuisine est aujourd’hui l’une des pièces maîtresses de l’habitation au même titre que le séjour.
Qu’elle soit petite ou de dimension généreuse, la cuisine privilégie l’espace et les volumes en s’ouvrant sur les pièces attenantes. De nos jours, plus question en effet de laisser la cuisinière – et le cuisinier – seul(e) aux fourneaux, la préparation du repas se fait en compagnie des invités confortablement installés derrière le bar ou avec les enfants qui font leur devoir sur la table posée à proximité. En plus d’être conviviale, la cuisine se veut aussi agréable au quotidien grâce à des armoires ouvertes qui s’harmonisent avec les teintes et décors de l’habitation.
En 2020, on remarque que la tendance est au retour du bois, dont les nervures apparentes se mélangent avec des tons blancs et anthracite afin de renforcer l’aspect naturel et intemporel de ce matériau noble et local. Pour une touche
très moderne, on pourra en revanche opter pour des façades entièrement en métal ou recouvertes d’aluminium stratifié, avec des chanfreins (angles en biseau) apparents déclinés en aluminium, en bronze, en argent et même en titane, en finition brossée.
Mentionnons également les façades en ciment, déjà à la mode dès 2018, qui séduisent toujours beaucoup de propriétaires mais exigent un certain budget. Au final, plutôt que de vouloir en mettre «plein la vue», on préférera opter pour des tons neutres et chaleureux, par exemple un blanc intemporel, sachant que la cuisine est conçue pour durer 25 ans au minimum.
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«Vous ne le verrez pas ailleurs, en tout cas pas pour l’instant», assure Eric Solovici, décorateur d’intérieur à La Conversion(VD). Grande tendance du Salon du meuble de Milan 2019, le nouveau concept de canapé amovible se décline au gré de nos envies de confort. Du modèle entrée de gamme chez Home Salons au coup de cœur de notre invité: le torride Night Fever dessiné par Giuseppe Vigano pour Arketipo Firenze. L’idée? Des éléments d’assise ou de couchage et des dossiers-coussins amovibles. «C’est un canapé qui sort de l’ordinaire en offrant des possibilités de configurations informelles et très conviviales.
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